Burned, Karen Marie Moning [Lecture VF]

Résumé :

"Ce soir, j'ai peut-être vaincu l'un des pires Unseelies de tous les temps, mais le silence et la désolation qui règnent dans ce qui était autrefois le cœur de Temple Bar me donnent le cafard. Je veux retrouver mon Dublin. Je veux que cette foutue glace disparaisse. Alors que je viens de faire halte, maussade, l'extrémité d'un objet dur et pointu se pose soudain dans mon dos. - Lâche ton épée, Dani, dit Mac derrière moi."



Avis :

Après mon marathon Fièvre de fin d’année, j’étais ravie de retrouver la série avec la sortie française de Burned. Ma lecture en VO remonte à environ un an, il fallait que je me remettre tout en tête avant la sortie de Feverborn ; eh oui, il y a des priorités dans la vie ! Et j’ai encore davantage aimé cette relecture (peut-être parce que je comprenais tous les mots, ça aide) !

On retrouve Dani et Mac où nous les avions laissées et, rapidement, c’est de nouveau le point de vue de Mac qui va être prépondérant, ce qui me réjouis, je la préfère toujours à Dani. Ce tome est plus calme, l’auteur prend son temps et développe le personnage de Mac. Là où certains la verront geignarde, j’ai vu une jeune femme qui n’a pas faibli jusque-là, mais qui est marquée par les épreuves qu’elle a traversées et qu’elle continue à endurer. C’est aussi l’occasion d’en découvrir davantage sur les Neuf, chose que tous les lecteurs attendaient (il ne faut pas non plus s’emballer, tous les mystères ne sont pas levés). Le duo Mac/Barrons fonctionne toujours aussi bien, Lor apporte une touche de légèreté au roman et Jada fait un peu froid dans le dos. Le rythme, même s’il est plus lent que dans les opus précédents, emporte une nouvelle fois le lecteur, la magie de KMM fait toujours effet, c’est toujours un régal de lire un de ses romans (de cette série, parce que l’autre, je passe mon tour).

En revanche, eh oui, il y a un bémol, la traduction m’a fait dresser les poils. La traductrice a eu une promo sur les mots « foutre » et « nom de nom », le prologue m’a fait saigner les yeux, c’est un massacre. Ça s’améliore ensuite mais, nom de nom, foutre de moi si elle ne pouvait pas traduire fuck autrement ! Même Dani dit nom de nom, j’ai eu peur qu’à un moment elle s’exclame sapristi ou saperlipopette ! En même temps, parfois les personnages laissent échapper un fuck ou un yes (oui oui en anglais dans le texte), je n’ai pas bien compris quelle mouche avait piqué la traductrice mais, si elle prend des substances, il faut qu’elle arrête, ou si c’est justement parce qu’elle a arrêté, il faut qu’elle reprenne, là c’est pas possible ma chééééééérie !


Quoi qu’il en soit, foncez sur Burned, les choses changent à Dublin, ce serait dommage de passer à côté, nom de nom !


Commentaires

  1. ouiiiiiiiiiiiiiiii j'ai adoré aussi (et comme toi, j'étais ravie de retrouver surtout Mac en narratrice :P )

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  2. Mac la geignarde c'est sympa comme surnom

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  3. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  4. Je fais partie de ceux qui ont eu un peu de mal avec Mac dans ce tome (avec Barrons aussi d'ailleurs, on l'a connu plus charismatique nom de nom ^^). Mais bizarrement, là avec Feverborn, je révise mon opinion sur elle dans Burned, il me fait la voir d'une autre perspective. Comme quoi ... Mais sinon hormis ce petite problème de personnage j'avais bien été prise par l'histoire, surtout dans sa seconde partie.

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