Kaamelott Livre I, Alexandre Astier



Résumé :

Parce que les dieux lui ont confié la mission sacrée de retrouver le Graal. Arthur, devenu roi incontesté de Bretagne en retirant Excalibur de la pierre, a réuni autour de la Table ronde, à Kaamelott, les plus preux chevaliers de son temps : Lancelot, Perceval, Karadoc, Bohort, Yvain, Gauvain, et d'autres. Malgré cela, la quête piétine depuis plusieurs années. Retrouvez, épisode par épisode, les textes intégraux de la série télévisée.


Avis :

« C’est pas faux. »

Pour ceux qui auraient passé les dix dernières années dans une grotte, Kaamelott est à la base une série télévisée écrite par Alexandre Astier, de format court, diffusée de 2005 à 2009 sur la chaîne M6.
Les éditions J’ai lu nous proposent de retrouver l’intégrale des dialogues initiaux (il y a eu quelques changements lors du tournage). Le livre I est découpé en deux tomes de 50 épisodes chacun.

« Bref, tout ça pour dire que je voudrais bien qu’on commence à me considérer en tant que tel. »

Quel plaisir !! En grosse fan de la série et d’Alexandre Astier, de son humour et de son jeu, je ne pouvais pas passer à côté de ces livres. C’est avec bonheur que je me suis replongée dans l’univers de Kaamelott, revoyant les sketchs au fur et à mesure de ma lecture.

« Si Joseph d'Arimathie a pas été trop con, vous pouvez être sûr que le Graal, c'est un bocal à anchois. »

On pourrait penser que lire les dialogues serait un peu plat, il n’en est rien, j’ai beaucoup pouffé au cours de ma lecture, l’humour d’Astier fait mouche sur le papier comme à l’écran.

« Au bout d’un moment, il est vraiment druide ce mec-là ou ça fait quinze ans qu’il me prend pour un con ? »

Pour tous ceux qui aiment la série, ces livres sont indispensables, à lire d’une traite, ou à feuilleter de temps en temps pour retrouver le sourire.

« Non et puis Merlin, il arrive déjà pas à monter des blancs en neige alors une potion de polymorphie, permettez-moi d’avoir des doutes. »

Un grand merci aux éditions J’ai lu pour cette excellente idée !

« Sans vouloir la ramener, la seule différence concrète avec des briques, c’est que vous appelez ça des tartes ! »

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