The other life, Susanne Winnacker


Résumé :

It's been 3 years, 1 month, 1 week and 6 days since Sherry has seen daylight. When things went wrong up above, she was sealed off from the world in a bunker with her family. But when they run out of food, Sherry and her dad must venture outside. There they find devastation, desolation... and the Weepers: savage mutant killers.

3 ans, 1 mois, une semaine et six jours que Sherry n’a pas vu la lumière du jour. Quand les choses ont mal tourné, elle s’est réfugiée avec sa famille dans leur bunker. Mais quand la nourriture vient à manquer, Sherry et son père doivent s’aventurer dehors, où tout est dévasté. Et ils trouvent aussi les « Pleureurs », de sauvages tueurs mutants.
(La traduction est de moi, clap clap).


Avis :

Plus de trois ans que Sherry et sa famille sont reclus dans leur bunker après qu’un mystérieux virus se soit propagé, rendant les humains infectés « enragés ». Mais la nourriture vient à manquer et la jeune fille et son père vont en sortir pour trouver de quoi nourrir la famille. Ce qu’ils découvrent alors est surréaliste, Los Angeles semble avoir été bombardée, les rues sont désertes. Dans ce paysage apocalyptique ils vont malgré tout tenter leur chance. Et très rapidement ils vont faire connaissance des fameux enragés, qui vont enlever le père de Sherry. Cette dernière aurait subi le même sort si un jeune homme, Joshua, n’était pas intervenu.

Du post-apo, des zombies, voilà un livre qui a tout pour me plaire. Et effectivement, j’ai passé un très bon moment de lecture. Si le propos n’est pas des plus originaux, c’est surtout dans les cinquante dernières pages que The other life fait la différence en évoquant le début de l’épidémie et en lui donnant une explication des plus troublantes. Cette justification explique peut-être pourquoi les zombies de ce livre sont si différents du zombie « classique », mais il faudra attendre la suite pour en voir le cœur net. Il y a aussi une histoire d’amour, mais elle n’a pas vraiment capté mon attention, je n’ai jamais réussi à m’intéresser à Joshua, ceci explique cela.

Comme je le dis souvent « le zombie, y’a que ça de vrai », et ça se révèle une nouvelle fois exact avec le roman de Susanne Winnacker.

Pour ce qui est de la VO, c’est un des livres les plus simples à lire que j’ai croisé, aucune difficulté.




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