Résumé :
Franck, il
s’appelle Franck parce que sa mère et sa grand-mère adoraient Frank Alamo (Biche, oh ma biche, Da doo ron ron, Allô
Maillot 38-37 et tout ça) (si, si, ça existe…) et moi, je m’appelle Billie
parce que ma mère était folle de Michael Jackson (Billie Jean is not my lover /
She’s just a girl etc.). Autant dire qu’on ne partait pas avec les mêmes
marraines dans la vie et qu’on n’était pas programmés pour se fréquenter un
jour…
Avis :
Anna Gavalda avait fait vibrer mon petit
cœur avec Ensemble, c’est tout,
couler mes larmes avec 35 kilos d’espoir,
et chacun de ses livres avait toujours su me toucher avec plus ou moins de
force, mais en trouvant toujours un écho en moi. J’ai donc commencé ma lecture
de Billie avec entrain et optimisme,
même si le petit âne trottinant joyeusement sur la couverture m’avait laissée
perplexe.
Hélas, je ne suis jamais rentrée dans ce
livre. Aucune empathie pour les personnages, aucun intérêt pour leur histoire
d’amour, pour le pessimisme ambiant, l’aspect limite glauque des choses, et je
n’ai pas reconnu la plume d’Anna Gavalda qui sait pourtant d’habitude si bien
m’emporter dans son univers. Il y a quelques jolis mots pourtant, des clins
d’œil inspirés, mais la magie n’opère pas, et ma déception n’a fait que croître
au fil des pages (heureusement, il y en a peu). Rendez-vous manqué entre
l’auteur et moi pour cette fois-ci.
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