Résumé :
Drew, la
trentaine irrésistible, est associé dans une grande banque d'investissement
new-yorkaise. Le pouvoir, l'argent, les femmes, absolument tout lui réussit.
Très sûr de lui et arrogant, il assume son statut de beau gosse et enchaîne les
aventures sans lendemain. Jusqu'au jour où une femme lui résiste. Kate Brooks
est sublime, brillante, et ambitieuse... mais fiancée et inaccessible.
Lorsqu'il la rencontre dans un bar et tombe sous son charme, il ignore encore
qu'elle deviendra sa collègue quelques jours plus tard... Bouleversés par le
magnétisme sexuel qui les aimante et engagés dans une rivalité professionnelle
diabolique, ils vont jouer avec leurs sentiments, s'aimer et se détester. Drew,
le séducteur invétéré, nous prend à partie et nous décrit la façon dont il
tombe amoureux. Il nous confie avec autodérision et cynisme ce que les hommes
pensent vraiment...
Avis :
Drew est un jeune cadre dynamique,
séducteur invétéré, à qui tout réussit. Le jour où son chemin croise celui de
Kate, cette dernière repousse ses avances. Et pour cause, ils sont de futurs
collègues au sein de l’entreprise de Drew. Enfin, collègues, c’est vite dit, puisqu'ils deviennent rapidement concurrents, se détestant cordialement. Mais
n’est-ce-pas le signe qu’ils s’apprécient justement un peu trop ?
En temps normal, j’aurais pu dire que ce
livre est super, avec un personnage principal attendrissant, avec ses airs de
grand garçon boudeur pourri gâté, une jeune femme brillante qui ne se laisse pas
marcher sur les pieds, et un humour omniprésent d’un bout à l’autre du roman.
J’aurais parlé d’une romance contemporaine fraîche, sensuelle et drôle, je
pense. Le seul souci, c’est l’écriture. Pour avoir eu la V.O. entre les mains,
je sais que ce n’était pas du Shakespeare et que, par conséquent, on n’aurait
pas pu avoir du Balzac à l’arrivée. Mais quand même, sans en arriver là, il y
avait moyen de faire beaucoup mieux que la triste traduction servie ici, une
version améliorée de Google trad, et encore, pas toujours. Et, non, je
n’exagère pas, j’ai passé quelques passages V.O. qui me semblaient vraiment
bizarres en français dans l’outil précité, et il m’a sorti le texte présent
dans le livre à peu de choses près. C’est bien la première fois que cela arrive
avec les éditions Hugo New Romance, j’avoue avoir été très étonnée. Des
expressions qui ne veulent rien dire en français, de la traduction mot à mot,
des phrases sans queue ni tête, il y a vraiment un gros problème de traduction.
Cela m’a tellement gênée dans ma lecture, qu’arrivée au premier tiers du livre,
j’ai bifurqué sur la version originale. C’est ainsi que je peux vous dire que Love Game est une romance très agréable
et drôle que je ne regrette pas d’avoir découverte. Mais pas dans sa version
française.
Je suis rassurée du verdict, mais dégoûtée pour la trad :(
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