Visions de feu, Gillian Anderson

Résumé :

La fille du représentant indien à l’ONU se met à parler une langue inconnue et souffre de violentes visions. Une jeune Haïtienne manque de se noyer sur la terre ferme. Un étudiant iranien s’immole par le feu… À New York, Caitlin O’Hara, psychologue pour adolescents renommée, est chargée de traiter la jeune Maanik. Elle est convaincue que les crises de sa patiente ont un rapport avec la récente tentative d’assassinat qu’a subie son père et qui n’a fait qu’aggraver les tensions entre l’Inde et le Pakistan. Mais lorsque, partout dans le monde, des adolescents commencent à présenter les mêmes symptômes, Caitlin est obligée de reconnaître qu’elle a affaire à quelque chose de plus sinistre encore…

Avis :

L’éditeur Bragelonne a habilement fait coïncider la sortie de ce livre de Gillian Anderson avec le retour à l’écran de la série X-Files. Fan de la série et de l’agent Scully, je me suis jetée sur ce livre en bonne groupie de base. Le résultat n’est, hélas, pas à la hauteur de mes attentes…

Quand Maanik, la fille du représentant de l’Inde à l’ONU, est en proie à des crises non identifiées, le docteur Caitlin O’Hara, psychiatre de son état, est appelé à son chevet. Impuissante à trouver la cause du mal, le médecin va découvrir que d’autres jeunes gens sont victimes des mêmes symptômes. La thérapeute va mener l’enquête pour tenter de découvrir le fin mot de l’histoire.

Quel ennui… J’ai essayé de toutes mes forces d’apprécier ce livre, mais, hélas, je n’ai absolument pas adhéré, ma lecture s’est transformée en long calvaire, attendant désespérément que Gillian Anderson arrive à me faire raccrocher les wagons, ce qui n’arrivera jamais. L’intrigue en elle-même est plutôt bien foutue, mais que c’est long et fastidieux pour en arriver là. L’auteur prend son temps au début, les choses avancent à la vitesse d’une limace arthritique, pour finalement s’accélérer dans un final un peu trop rapide qui donne l’impression d’être bâclé. Les personnages, à part Caitlin, m’ont laissée de marbre et, même si l’idée est bonne, j’ai eu l’impression de perdre mon temps. Dommage.


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