Résumé :
Quand Kira croise Grayson à la banque, elle
pense avoir trouvé la solution à son problème : il est visiblement à la
recherche d'argent et elle est prête à partager celui dont elle héritera si
elle se marie. Il ne lui reste plus qu'à faire sa proposition, un peu
inhabituelle. Grayson a promis qu'il restaurerait le vignoble familial situé en
Californie. Pour cela, il a besoin de fonds. Il va accepter avec réticence la
proposition de Kira.
Apparemment, ils partagent bien peu de
choses. Ils ont également des préjugés l'un sur l'autre.
Mais, au cours d'un été, au milieu des
vignes, ils vont apprendre à se découvrir, à s'apprivoiser, à découvrir que
leur rencontre va peut-être leur permettre de trouver bien plus qu'un avantage
financier.
Avis :
Mia revient d’une mission humanitaire en
Afrique, sans le sou. Au lieu de chercher un travail pour gagner de l’argent et
ainsi subvenir à ses besoins, comme tout un chacun, Mia va plutôt se marier,
condition pour toucher son héritage. Avec un inconnu dans la misère financière,
bien content de toucher la moitié du pactole en jeu. On ne va pas se mentir, la
morale est partie en week-end prolongé le jour où ce livre a été écrit. Kira
va donc emménager chez Grayson, vigneron dans la dèche financière, mais qui a quand
même les moyens d’employer du personnel de maison. Il va falloir que je revoie
où placer le curseur de la misère, parce que je suis visiblement à côté de la
plaque. La jeune femme va jouer les Cendrillon en nettoyant la cabane où son
gentleman de futur mari l’installe, puis la fée Clochette en étant mutine et
impertinente. Grayson a tout de Papa Ours, renfermé et parfois odieux. Mais
rassurez-vous, La Belle et la Bête font finir par se découvrir et tomber
amoureux, sous le regard attendri de Madame Samovar et Big Ben. Le mariage sera
en fait d’amour, la morale sauve et les fêlures des uns et des autres soignées
par le baume des sentiments. Youhou.
Bref, si vous n’êtes pas allergique à tout ce
que je viens d’expliquer, n’hésitez pas, ce n’est pas la romance du siècle,
mais ça passe le temps. Sinon, mettez un Disney dans le lecteur BR, au moins
vous savez où vous mettez les pieds.
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