Résumé :
Mercenary Kate
Daniels and her mate, Curran, the Beast Lord, are struggling to solve a
heartbreaking crisis. Unable to control their beasts, many of the Pack’s
shapeshifting children fail to survive to adulthood. While there is a medicine
that can help, the secret to its making is closely guarded by the European
packs, and there’s little available in Atlanta.
Kate can’t bear
to watch innocents suffer, but the solution she and Curran have found threatens
to be even more painful. The European shapeshifters who once outmaneuvered the
Beast Lord have asked him to arbitrate a dispute—and they’ll pay him in
medicine. With the young people’s survival and the Pack’s future at stake, Kate
and Curran know they must accept the offer—but they have little doubt that
they’re heading straight into a trap…
Avis :
Alors que deux adolescentes de la meute
tournent wolf, un marché est proposé à Curran : protéger une princesse enceinte
et faire régner l’ordre entre trois meutes européennes, ayant chacune un
intérêt divergent vis-à-vis des futurs bébés, le temps que la grossesse soit
menée à terme. En contrepartie, de la panacée à foison, le seul remède contre
le wolfisme. Pourtant conscients de foncer tête baissée dans un piège, Curran,
Kate et quelques piliers de la meute vont prendre la mer et honorer leur part
du marché.
Ce sixième tome joue à fond la carte de
l’ascenseur émotionnel (je déteste cette expression, utilisée à tort et à
travers par les gens de la télé-réalité — ça et le fameux « je vais donner le
meilleur de moi-même » — bref, passons – mais je la trouve tout à fait adaptée
en l’espèce). Le lecteur sait que nos héros se dirigent droit dans un piège,
mais les ressorts du piège et les motivations du marionnettiste sont une vraie
surprise. Les auteurs ont plus d’un tour dans leur sac et d’un as dans leur
manche, le lecteur va de rebondissement en retournement de situation. Kate doit
gérer ce qu’elle avait juré de ne jamais éprouver — des sentiments — et se rend
compte que ses amis sont sa faiblesse. Son personnage montre ses failles dans
cet opus, entraînée à tuer elle se rend compte qu’éprouver des sentiments
complique tout, mais que vivre sans n’est pas une solution. Nous découvrons de
nouveaux personnages comme l’allumé et charmant Christopher, retrouvons
certains que nous avions perdu de vue dans le roman précédent, mais qui sont
plus déterminés que jamais et, cette fois, Ilona Andrews ne ménage pas ses
personnages : j’ai dû prétendre avoir une poussière dans l’œil pour
justifier les larmes qui me montaient aux yeux. Magic Rises prouve une nouvelle fois que la qualité de cette série
ne faiblit pas avec le temps, vite la suite.
J'ai hâte de lire le tome 9 pour ma part !
RépondreSupprimerJ'imagine :)
SupprimerMon préféré T.T c'est le plus fort et le plus beau en émotion.
RépondreSupprimerC'est aussi mon préféré avec le 4 ^^
Supprimer