Résumé :
An all-new Mac & Barrons
story by #1 New York Times bestselling author Karen Marie Moning, marvelously
adapted into a full-color graphic novel by writer David Lawrence and
illustrator Al Rio. In Fever Moon, we meet the most ancient and deadly Unseelie
ever created, the Fear Dorcha. For eons, he’s traveled worlds with the Unseelie
king, leaving behind him a path of mutilation and destruction. Now he’s hunting
Dublin, and no one Mac loves is safe. Dublin is a war zone. The walls between
humans and Fae are down. A third of the world’s population is dead and chaos
reigns. Imprisoned over half a million years ago, the Unseelie are free and
each one Mac meets is worse than the last. Human weapons don’t stand a chance
against them. With a blood moon hanging low over the city, something dark and
sinister begins to hunt the streets of Temple Bar, choosing its victims by
targeting those closest to Mac. Armed only with the Spear of Destiny and
Jericho Barrons, she must face her most terrifying enemy yet.
Avis :
Ne
me remerciez pas pour la non-traduction du pitch, ça me fait plaisir ^^ Allez,
ne chouinez pas, comme je suis vraiment sympa je vais vous en faire le résumé.
Les murs entre les faes et les humains sont tombés, Dublin est en guerre, une
partie de l’humanité a été décimée. Mac et Barrons continuent la lutte, tout en
poursuivant leur quête du Sinsar Dubh. Dans ce contexte, un fae s’en prend aux
proches de Mac, attirant sur lui les foudres de la jeune fille qui va le
prendre en chasse.
Si
cette histoire inédite n’apporte finalement rien à la série Fever, je n’ai
néanmoins pas boudé mon plaisir de retrouver l’univers de Mac et Barrons. The Fear Dorcha est cependant une bonne
histoire, bien conçue, qui permet de passer un moment agréable, mais c’est vrai
qu’on peut s’en passer, même si on aime la série (bien sûr, les fans ultimes
l’auront dans leur bibliothèque). Par contre, si vous ne l’avez pas lu au moins
les quatre premiers tomes, pas la peine de tenter l’aventure avec le comic, vous
serez spoilé sur la suite des évènements ou, si vous découvrez la saga par le
comic, vous n’y comprendriez rien car il ne peut pas être lu indépendamment.
Parlons
maintenant des dessins. Globalement j’ai bien aimé le graphisme, mais il faut
admettre que Mac et Barrons n’ont pas vraiment été avantagés. Enfin si, Mac a
été largement avantagée au niveau pulmonaire, faut croire que les gros seins ça
fait vendre. Et puis globalement je l’ai trouvée quand même un peu vulgaire, on
sent une tentative de séduction du lectorat masculin. En comparaison, Barrons
est bien fade (probablement pour ne pas complexer le lectorat masculin
préalablement attiré par le 95E de Mac).
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