Résumé :
Anita Blake
doit se tenir à carreau : les Arlequins la surveillent. Elle a beau être
l'exécutrice des vampires, eux ont le pouvoir de la juger… et de l'exécuter.
Elle aura grand besoin du soutien de ses amants pour faire face à ce qui
l'attend. Elle pourra compter sur Jean-Claude et Richard qui s'avèreront être
de solides et puissants alliés. Et pour espérer sauver sa peau et celle de ses
amies, Anita devra faire appel à Edward, le tueur impitoyable.
Avis :
Depuis Péchés Céruléens, j’avais abandonné les
relectures en VF, et même abandonné Anita tout court. Trop d’ardeur, trop de
sexe, trop de personnes en même temps, j’étais sortie découragée de Danse Macabre, raison pour laquelle
j’avais arrêté la lecture VO, et malgré les bons échos, j’ai mis pas mal de
temps à ouvrir le quinzième tome des aventures de l’exécutrice. Alors Arlequin ne m’a pas non plus
transportée, mais il m’a réconciliée avec Laurell.
On
renoue ici avec l’esprit des premiers tomes. Moins de sexe, plus d’intrigue.
Waouh que ça fait du bien. Même Richard m’a paru moins insupportable que
d’habitude, c’est dire ! Alors ce n’est pas encore ça, on est encore loin
de retrouver l’équilibre qu’il y avait avant que ça tourne à l’orgie, mais c’est
très rafraîchissant par rapport à ce que j’ai lu avant. Sans doute que le
retour d’Edward y est pour quelque chose, et dans ce cas ce serait bien qu’il
reste ! De la même manière, l’introduction des Arlequins et la tension
créée permet de relancer la mécanique, de recentrer Anita sur autre chose que
l’ardeur.
Alors
oui, il y a quand même du sexe, mais ça reste supportable, on n’est plus dans
le 80% de sexe, 20% d’intrigue. J’ai quand même été un peu gênée par Nathaniel
et l’explication de texte sur le BDSM, j’avais l’impression d’un cours magistral
genre « ce n’est pas sale de se faire fouetter par en homme en string en
cuir », et je n’ai pas vraiment compris l’intérêt d’en faire une tartine.
En même temps, quand Laurell part dans ces digressions sur la liberté en terme
de pratiques sexuelles, il y a rarement une justification dans l’intrigue,
c’est souvent cadeau…
Arlequin
m’a donné envie de donner une deuxième chance à Anita, pourvu que Sang Noir continue sur cette
lancée !
Je suis au 8ème tome et ça me plaît toujours autant...
RépondreSupprimerC'est à partir du 11 que ça se gâte vraiment, avec Danse Macabre (14) qui est vraiment pire que tout ;)
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