Résumé :
Finley
Jayne voudrait bien n’être qu’une jeune fille comme les autres. Mais, depuis
quelque temps, elle sent se développer en elle une part sombre qui lui donne
d’étonnants pouvoirs. Des pouvoirs qu’elle va bientôt mettre à l’épreuve d’une
terrifiante machination…
Avis :
Je
suis une horrible petite chose snobinarde bourrée de préjugés. Par exemple, je
n’ai jamais rien lu du label Darkiss
sous prétexte que c’est du Harlequin.
Et puis, à sa sortie le premier tome de The
Steampunk Chronicles m’a fait de l’œil, tant et si bien que j’ai fini par
m’intéresser à cette série et à découvrir qu’il existe une novella préquelle, L’étrange secret de Finley Jayne. Une
occasion en or de tester l’histoire à moindre coût puisque cette novella n’est
disponible qu’au format numérique au prix modique de 2,49€. Ni une ni deux,
j’ai rassemblé tout mon courage pour écarter mes préjugés et me suis lancée
dans cette lecture. Et je ne le regrette pas, mea culpa, Darkiss dont je me méfiais tant propose en réalité un texte très
prometteur loin des clichés que j’avais en tête.
L’étrange secret de Finley
Jayne fait environ 85 pages et propose une histoire complète
avec une intrigue bien ficelée. On découvre Finley, domestique qui vient de se
faire renvoyer pour avoir cassé les dents (rien que ça !) de la gouvernante
de la maison chez qui elle travaillait. Sans références et avec une réputation
pour le moins écornée, la jeune fille redoute de ne pas trouver de nouvelle
place. C’est sans compter sur Lady Morton qui, séduite par le caractère
particulier de la demoiselle, va la prendre à son service afin de veiller sur
sa fille Phoebe. Rapidement, Finley va se prendre d’affection pour la jeune
fille fraîchement fiancée, et sa force particulière va lui être bien utile pour
servir au mieux les intérêts de sa protégée.
Sur
fond de vapeur, rouages et automates, cette nouvelle propose un univers
steampunk très intéressant dans lequel je me suis beaucoup plu. Le méchant de
l’histoire est tout à fait détestable et un poil glauque, le personnage de
Finley semble prometteur (j’aurais d’ailleurs aimé en savoir plus sur elle) et
le style de l’auteur est simple mais agréable à lire.
Kady
Cross pose les bases de son univers et les premiers éléments de sa série,
accrochant le lecteur sans trop en dévoiler, histoire que sa frustration le
pousse à se procurer rapidement le premier tome de ses Steampunk Chronicles. Et ça marche !
"Je suis une horrible petite chose snobinarde bourrée de préjugés." Moi aussi !!!
RépondreSupprimer\o/ ça peut faire l'objet d'un prochain challenge "Je lutte contre mes préjugés de snobinarde" : le JLCPS challenge ^^
SupprimerJ'ai les mêmes aprioris que toi, je vais peut-être me lancer finalement ;)
RépondreSupprimerTu m'as convaincue, je tenterai peut être cette novella du coup :)
RépondreSupprimerLe label Darkiss ne m'a jamais particulièrement rebutée, y'a qu'à voir ce qui se publie dans d'autres collections jeunesse comme mièvrerie, y'a d'la concurrence (puis en suivant les avis on voit vite qu'ils ont de "vrais" trucs :p)(je ne suis pas une snobinarde bourrée de préjugés non plus, comme on peut le voir x) ).
Bonne idée le challenge JLCPS :D
Ça a l'air sympa, je note pour plus tard, quand me viendra une envie de lecture steampunk.
RépondreSupprimerJe vais demander à Darkiss un pourcentage sur les ventes ^^
RépondreSupprimerAh il faudrait que je tente la nouvelle tiens, avant de m'acheter le 1er tome (ce que je compte faire car j'ai très très envie de découvrir ce livre ♥)
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