Résumé :
Lady Sophia Sydney aurait inventé n'importe
quoi pour approcher le juge Ross Cannon. Certes, l'homme est séduisant, mais ce
n'est pas la bagatelle qui la tente. Ce qu'elle veut, c'est ruiner sa
réputation, en faire la risée de Londres, bref : se venger ! Habile et
obstinée, Sophia parvient à se faire engager comme gouvernante et pénètre ainsi
dans l'intimité de son ennemi. Ross, veuf depuis plusieurs années, est troublé
par la présence de cette mystérieuse et ravissante jeune femme dans sa maison.
Les courbes voluptueuses de son corps, la caresse de ses mains lorsqu'elles
l'effleurent réveillent en lui un désir qu'il croyait définitivement éteint. Il
sait qu'il joue avec le feu, mais il ne peut déjà plus reculer...
Avis :
Cela faisait longtemps que je n’avais pas
lu de romance historique, et, histoire de me détendre, j’ai ouvert L’amant de Lady Sophia. Bien m’en a
pris, j’ai gloussé de contentement comme une petite dinde à la lecture de cette
histoire.
Lady Sophia se fait engager comme gouvernante
chez le juge Cannon, l’homme qu’elle tient pour responsable de la mort de son
frère. C’est pour elle l’opportunité de se rapprocher de cet homme qu’elle
méprise et hait, et de le mener à sa perte. Elle va vouloir ainsi le séduire,
lui qui n’a aimé aucune autre femme depuis le décès de son épouse, morte en
couches. Cet homme si rigide va rapidement ressentir un élan pour la jeune
femme, comme le plan de cette dernière l’avait prévu. Ce qui n’était pas prévu
en revanche, c’est que Sophia elle-même soit prise à son propre piège et
succombe au charme du juge…
Encore une fois, Lisa Kleypas déroule une
romance parfaite, avec ce qu’il faut de sentiments, de sensualité, d’action et
de rebondissements. Je suis tombée amoureuse de Ross moi aussi, et j’étais
ravie de voir les liens entre Sophia et lui se tisser. L’auteur sait équilibrer
son récit avec des éléments autres que la romance pure, et on ne s’ennuie pas
un instant. D’ailleurs L’amant de Lady
Sophia m’a tellement plu qu’il est l’une des rares romances historiques que
je relirai sans doute, c’est dire. Si ce n’est pas déjà fait, procurez-vous ce
récit, vous ne serez absolument pas déçus !
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