White Trash Zombie T1 - My life as a white trash zombie, Diana Rowland

Résumé :

Teenage delinquent Angel Crawford lives with her redneck father in the swamps of southern Louisiana. She's a high school dropout, addicted to drugs and alcohol, and has a police record a mile long. But when she's made into a zombie after a car crash, her addictions disappear, except for her all-consuming need to stay "alive"…


Avis :

Pour la dernière chronique de l’année, revenons aux fondamentaux avec un zombie-book !

Angel est une jeune femme paumée, marginale, accro aux drogues dures. Sa vie à peine commencée, elle se considère déjà comme une ratée. Le jour où elle devient zombie malgré elle, c’est un peu comme une seconde chance qui s’offre à elle. Sa non-vie va lui permettre de revenir « dans le droit chemin » (quand on a envie de manger des cerveaux H24, je ne sais pas si on peut vraiment dire qu’on est revenu dans le droit chemin, mais vous voyez le concept quoi). Affublée d’un protecteur d’un genre particulier et essayant de garder son nouvel emploi à la morgue (pour une morte vivante c’est assez cohérent comme job !), Angel va découvrir que les zombies sont bien plus nombreux qu’elle l’imaginait…

C’est le premier roman de Diana Rowland que je lis, entre la couverture et le thème, je ne pouvais qu’être séduite (j’ai des goûts particuliers, oui, et alors ?). Le début est un peu long, Angel met un temps fou à comprendre sa nouvelle situation, mais une fois que cette étape est passée, tout s’accélère. L’intrigue est un mix entre enquête policière, satyre sociale et un humour plus que décalé. Angel est un personnage très attachant, essayant de gérer sa nouvelle addiction aux cerveaux humains, son nouveau job (qu’elle doit impérativement garder si elle veut rester un zombie « frais ») et les enquêtes policières auxquelles elle se trouve mêlée. J’ai vraiment aimé l’histoire de cette battante malgré elle, qui essaye de s’adapter à sa nouvelle condition, qui finira par la sauver en quelque sorte. Seul le niveau d’anglais m’a un peu déroutée, j’ai parfois eu du mal avec le langage d’Angel, heureusement que j’étais chez moi et qu’internet est mon ami pour traduire certaines expressions.


Je vous recommande vivement My life as a trash zombie, que vous soyez familier du genre ou que vous souhaitiez aborder le sujet sans lire un roman post-apocalyptique comme on en trouve beaucoup dans le genre.



Commentaires

  1. J'avais beaucoup apprécié à l'époque ! Je regrette vraiment de ne pas avoir continué la série.

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  2. ah j'ai ce roman depuis longtemps mais toujours pas commencé, il faut vraiment que je m'y mette, je suis contente que ça soit une bonne lecture !

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