Résumé :
" L'homme
en noir fuyait à travers le désert, et le Pistolero le suivait... " Ce
Pistolero, c'est Roland de Gilead, dernier justicier et aventurier d'un monde
qui a changé et dont il cherche à inverser la destruction programmée. Pour ce
faire, il doit arracher au sorcier vêtu de noir les secrets qui le mèneront
vers la Tour Sombre, à la croisée de tous les temps et de tous les lieux.
Roland surmontera-t-il les pièges diaboliques de cette créature? A-t-il
conscience que son destin est inscrit dans trois cartes d'un jeu de tarot bien
particulier ? Le Pistolero devra faire le pari de le découvrir, et d'affronter
la folie et la mort. Car il sait depuis le commencement que les voies de la
Tour Sombre sont impénétrables...
Avis :
La
Tour Sombre est selon Stephen King sa plus grande
œuvre. Honte à moi, je ne l’avais jamais lue. Mais, comme il n’est jamais trop
tard pour bien faire, je me suis jetée sur ce roman à la croisée de la fantasy
et du western qu’est Le Pistolero.
Je dois avouer avoir eu beaucoup de mal à
entrer dans l’histoire et n’être finalement pas sûre d’avoir tout bien compris.
Le Pistolero chasse l’homme en noir, rencontre des gens, plonge dans ses
souvenirs et… tout ça pour ça ?! Stephen King a pour habitude d’intégrer
très rapidement le lecteur à l’histoire, mais ici c’est tout le contraire. Le
lecteur observe et attend, sans savoir vraiment quoi, ni si on touche au but.
Très étrange sensation que de finir un livre en se disant « mais
encore ?! ». Et pourtant, aussi bizarre que ça puisse paraître, ça
fonctionne. Sans s’en rendre compte, notre curiosité est titillée,
l’attachement au personnage du Pistolero se fait presque malgré nous et, même
si la lecture s’achève sur une pointe de déception, on a pourtant envie
d’enchaîner sur le tome suivant, histoire de voir ce que King nous a réservé. À
suivre…
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