Synopsis :
L'Indominus
Rex, un dinosaure génétiquement modifié, pure création de la scientifique
Claire Dearing, sème la terreur dans le fameux parc d'attraction. Les espoirs
de mettre fin à cette menace reptilienne se portent alors sur le dresseur de
raptors Owen Grady et sa cool attitude.
Avis :
— Bonjour,
je voudrais trois places pour Jurassic
Park s’il-vous-plaît.
— Jurassic World plutôt ? *Petit
sourire moqueur*
—
Ouais ouais… *Petit malin j’allais au ciné regarder le premier opus à sa sortie
que tu marinais encore dans tes Jurassic couches*
C’est
ainsi que nous sommes allés voir le film de Colin Trevorrow. Débranchez vos
cerveaux, prenez du pop-corn et installez-vous, Jurassic World est un film super divertissant qui nous a fait passer
deux heures d’éclate.
L’action
se déroule vingt ans après la fermeture du premier parc, sur les mêmes lieux.
Pour maintenir l’intérêt des touristes blasés, les chercheurs ont développé une
race génétiquement modifiée de dinosaures, l’Indominus Rex. Sauf que,
forcément, ça va mal tourner. Prenez une scientifique overbookée psychorigide ne
vivant que pour son boulot qui reçoit ses neveux pour le week-end, un ex de la
Navy reconverti en dresseur de vélociraptors (incarné par Chris Pratt, miam), 22 000 visiteurs en goguette dans le parc
et un vilain pas beau qui veut utiliser les raptors comme machines de guerre. Ajoutez-y
le gros dino génétiquement modifié et hop, voilà un film d’action au rythme effréné.
Pas de prise de tête au programme, vos neurones ne surchaufferont pas pendant
la séance, mais vous passerez un super moment, bien divertissant, comme on les
aime. Visuellement, c’est très réussi, le parc fait vraiment envie (au début en
fait, après beaucoup moins), le film n’évite pas les clichés mais on s’en
moque, on se laisse emporter et puis c’est tout. Mention spéciale à Bryce
Dallas Howard, qui arrive à courir à toute allure pendant deux heures avec ses
escarpins à hauts talons quand le commun des mortelles risquent l’entorse sur
de simples pavés, ainsi qu’aux meilleures allumettes de l’histoire du cinéma
qui restent opérationnelles après un séjour dans l’eau, tandis que les vôtres n’allumeront
plus jamais rien après être restées dans votre poche après une semaine sous le
crachin breton. Bref, on remarque tous les défauts, mais finalement, pour une
fois, ça nous est complétement égal, parce qu’on en prend plein les yeux, et c’est
bien là le principal.
Chris Pratt ouaiiiiiiiis !
RépondreSupprimerPas très féministe ce film mais grosse madeleine de Proust !
Oui, Chris Pratt *_*
RépondreSupprimerAhah, j'aurais aussi dit Jurassic Park moi aussi :D (d'ailleurs c'est comme ça que je le nomme quand j'en parle). J'ai hâte d'en prendre plein les yeux moi aussi :)
RépondreSupprimerOuh, on voit les fans de Star-Lord en commentaire ;) (je l'appelle comme ça, si je veux)
Tu vas te régaler ;) Où ça des fans de Chris Pratt ?? O:)
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