Résumé :
«
J’aurais pu vivre en paix. Mes ennemis m’ont jeté dans la guerre. »
Darrow
n’est pas un héros. Tout ce qu’il souhaite, c’est vivre heureux avec l’amour de
sa vie. Mais les Ors, les dirigeants de la Société, en ont décidé autrement.
Ils lui ont tout enlevé : sa raison de vivre, ses certitudes, jusqu’à son
reflet dans le miroir.
Darrow
n’a plus d’autre choix que de devenir comme ceux qui l’écrasent. Pour mieux les
détruire. Il va être accepté au légendaire Institut, y être formé avec l’élite
des Ors, dans un terrain d’entraînement grandeur nature.
Sauf
que même ce paradis est un champ de bataille. Un champ de bataille où règnent
deux règles : tuer ou être tué, dominer ou être dominé.
Avis :
J’attendais
beaucoup de ce livre, j’en ressors extrêmement déçue. Outre son manque
d’originalité, il m’a plongée dans un ennui profond…
Fuyant
une Terre surpeuplée et polluée, certains de ses habitants sont partis chercher
des solutions sur d’autres planètes. Darrow est un Rouge, un mineur sur Mars,
chargé d’extraire l’hélium 3 qui permettra de construire un monde viable pour
les prochaines générations. Lui et les siens vivent sous le joug des Ors, la
caste dominante. Lorsqu’il perd ce qu’il a de plus précieux à ses yeux, il
décide d’entrer en rébellion.
Des
castes désignées par leur couleur : déjà vu dans Red Queen. Chaque couleur a une attribution bien précise :
coucou Divergente et Hunger Games. La rébellion arrive :
oh comme c’est original, c’est dans toutes les dystopies, mais souvent amené de
façon plus subtile… Bref, le background est vu et revu, rien de neuf sous le
soleil. Le héros m’a laissée de glace, aucune empathie pour lui ni ses amis,
pas plus que pour les autres castes d’ailleurs. Le style ne m’a pas non plus
emballée, les « suce ma queue » ayant été la goutte d’eau qui a fait
déborder le vase de ma patience. Je n’ai vraiment accroché à rien, pas même à
la petite dinde martyre du début. J’ai trouvé le temps long et attendu un petit
quelque chose qui donnerait du sens au roman à mes yeux. Mais non, rien à
l’horizon, la fin fut un soulagement.
héhé, comme je partage chaque mot de ce billet, y compris pour la petite dinde (haha :p). Et j'ai en effet oublié de parler dans mon billet du style (ou de la traduction) qui laisse vraiment à désirer...
RépondreSupprimerJ'aurais mieux fait de regarder sur Goodreads la note que tu lui avais mis avant de le lire, quel calvaire :p
Pourtant la majorité aime... Ça fait du bien de voir qu'on est pas seule à penser différemment ;)
SupprimerAh oui, rien à voir, mais je vois ta lecture en cours :il est bien ce "Funny Girl" de Hornby ? J'hésite encore à le mettre sur ma liste de lectures de la rentrée littéraire....
RépondreSupprimerJ'ai bien aimé, c'est doux-amer, drôle, touchant et parfois un peu pathétique...
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