Résumé :
Survivre,
sauver, reconstruire. Dans un bunker en acier blindé, enterré sous sa maison,
le capitaine Lee Harden attend ses ordres. À la surface, une épidémie ravage la
planète, contaminant plus de 90 % de la population. La bactérie se fraie un chemin
jusqu'au cerveau, y annihile toute humanité pour ne laisser derrière elle que
quelques instincts primaires. Les infectés deviennent des prédateurs
hyper-agressifs, mûs par une insatiable faim et des pulsions meurtrières. Le
soldat appartient à un corps d'élite préparé à faire face à la catastrophe. Tôt
ou tard, il devra ouvrir la trappe de son bunker, braver le nouveau monde en
ruines et s'acquitter de sa mission : rétablir l'ordre et reconstruire un
gouvernement.
Avis :
J’ai
adoré le principe de départ du roman : un militaire mis en confinement à
chaque évènement (genre Fukushima) qui met en danger la sécurité nationale.
Sauf qu’en ce mois de juillet, le capitaine Lee Harden attend toujours le
message qui lui ordonnera de sortir de son bunker et ce message ne viendra pas.
Les jours passent et Lee doit se rendre à l’évidence, le gouvernement est
tombé, l’apocalypse zombie est en route, sa mission commence. Il devra sortir
de son trou (comme il l’appelle) au bout de trente jours et reconstruire la société,
tout comme les quarante-sept autres militaires dans la même situation à travers
le pays.
Comme
je l’ai dit, j’ai beaucoup aimé cette idée d’hommes mis à l’isolement qui
découvrent l’étendue des dégâts à leur retour à la surface. En revanche, la suite
est ensuite assez classique, Lee veut sauver des innocents et se heurte aux
zombies et aux hordes de méchants qui veulent juste profiter du chaos. Les
zombies auxquels il est confronté sont rusés, rapides et bien décidés à tuer
les vivants, ce qui change aussi des morts-vivants qui trainent la patte, mais
le déroulé reste ensuite assez convenu. Agréable à lire, mais sans grande
originalité, faisant de ce premier tome des Survivants
une lecture sympathique mais pas inoubliable.
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