Résumé :
XVIe siècle,
l'Europe est victime d'une épidémie qui transforme les hommes en zombies. 500
ans plus tard, de l'autre côté de l'océan, le peuple aztèque, préservé des
menaces de la colonisation, a continué de se développer. Son seul lien avec
l'Europe, un groupe d'hommes étranges arrivés en bateau peu de temps après
l'épidémie. La survie surprenante de ces derniers intrigue l'empereur aztèque.
Il décide d'envoyer une expédition pour comprendre ce mystère
Avis :
Une uchronie zombie ? Je fonce ! Et
c’est ainsi que je me retrouve à lire ce premier tome de Nous, les morts. À ma droite, une Europe médiévale ravagée par la
peste zombie, adieu le repos éternel et le progrès de la société. À ma gauche,
les Incas, dont la civilisation n’a, ici, pas été anéantie, ont vent d’une
fontaine de jouvence de l’autre côté de l’océan, des zombies s’étant échoués
sur leurs côtes, sûrement charriés par les courants, il y a des centaines
d’années. La perspective de la vie éternelle va pousser une poignée de
sud-américains à rallier l’Europe afin de
pouvoir, eux aussi, défier la mort.
Alors, oui, mais en fait, non. Sur le papier,
cette BD a beaucoup d’atouts et aurait pu me plaire. Sauf qu’en fait, pas du
tout. Je n’ai pas vraiment accroché à l’histoire, que j’ai trouvée un peu
courte, et la façon dont les travers de l’homme sont pointés du doigt manque de
subtilité. J’aurais sans doute pu m’en accommoder, et lire un deuxième tome
pour affiner mon ressenti, si le graphisme m’avait plu. Hélas, on est loin du
compte, le dessin ne m’a absolument pas convaincue, pour faire simple, j’ai
trouvé tout cela bien moche. Pour toutes ces raisons, je n’irai pas plus loin
dans cette série, qui saura en convaincre d’autres.
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