Résumé :
L'armée britannique quitte Philadelphie, talonnée par les troupes de
George Washington, qui ont délaissé Valley Forge. Jamie Fraser, prétendument
mort, réapparaît et découvre que son meilleur ami a épousé sa femme, Claire. Il
apprend également que son fils illégitime connaît maintenant l'identité de son
père. Enfin réunis, Jamie et Claire se réjouissent que leur fille soit en
sécurité au XXe siècle... mais il n'en est rien. Le fils de Brianna et Roger a
été enlevé par un homme déterminé à percer le secret de la famille Fraser. Et
alors que Roger s'est aventuré dans le passé pour suivre sa trace, le ravisseur
peut désormais jeter son dévolu sur sa véritable cible : Brianna.
Avis :
Après la seconde partie un peu molle du septième tome et sa fin faussement
enlevée, j’avais envie d’être de nouveau séduite par Diana Gabaldon et sa saga.
Cette première partie d’À l’encre de mon
cœur a répondu à mes attentes.
Jamie, qui n’est définitivement pas mort, retrouve enfin Claire. Mais
les retrouvailles sont de courte durée, le Highlander est rattrapé par ses
obligations. Sauf que, une nouvelle fois, tout ne se passe pas comme prévu.
Réquisitionné par l’armée, ses projets vont rapidement être contrariés et la
vie calme à laquelle il aspire avec sa Sassenach à Fraser’s Ridge s’éloigne,
pour ne pas changer. Parallèlement, parce qu’il est impossible de tenir autant
de pages avec un seul couple de personnages, nous retrouvons William d’un côté,
Brianna et Roger de l’autre. Pour ces derniers, les choses se compliquent
encore. Je ne veux pas spoiler, mais l’auteur ne les épargne pas, loin de là. Leur
vie prend une tournure pour le moins inattendue et c’est justement ce que l’on
apprécie avec Diana Gabaldon. Ce tome réserve son lot de surprises et de
rebondissements, et tient le lecteur en haleine tout du long. Jamie et Claire
ont beau avoir vieilli, l’intérêt du lecteur pour ce couple devenu mythique
reste intact. J’ai entendu dire que ce tome pourrait être le dernier, alors je
vais lire la suite prochainement, avec une fébrilité teintée de crainte…
Commentaires
Enregistrer un commentaire