Résumé :
Dans le monde de Celestine North, chaque
citoyen doit être Parfait. Quiconque commet la moindre erreur se voit marqué du
sceau de l’Imperfection.
Pour qui a pris une mauvaise décision : c’est
sur la tempe.
Pour qui a menti : la langue.
Pour qui a commis un vol : la paume de la
main droite.
Pour qui s’est montré déloyal : le cœur.
Pour qui s’est écarté du droit chemin : la
plante du pied droit.
Celestine mène une vie parfaite au sein d’une
famille parfaite et au bras du petit ami parfait. Elle pense incarner l’idéal
de la société.
Et si Celestine s’était trompée ? Si c’était
le système lui-même qui était Imparfait ?
Avis :
Celestine mène une vie parfaite, dans une
famille parfaite, avec un petit ami parfait au sein d’une société parfaite. Le
jour où elle porte assistance sans réfléchir à un imparfait, ce qui est
interdit par la loi, Celestine va se voir frapper du sceau de l’imperfection à
son tour et devenir un symbole.
Ce roman prône le doit à la différence, à l’imperfection et porte de belles valeurs comme le courage, l’entraide et la résistance. Le lecteur entre très vite dans l’histoire, même si elle a un goût de déjà vu, avec le tyran fou à la président Snow, la journaliste à la croisée de Rita Skeeter et Cressida et bien sûr la jeune fille symbole qui lorgne du côté de Katniss Everdeen. À côté de ça, le background est, lui, original, même s’il manque de profondeur, et fait oublier au fil des pages les ressemblances citées. La plume de Cecelia Ahern est fluide et incisive, elle retranscrit parfaitement la violence de cette société qui s’est nappée d’un voile de respectabilité pour cacher sa cruauté. L’auteur effleure de nombreux sujets, mais ne va pas au bout de certaines idées dans ce premier tome, laissant nombre de pistes non exploitées et de questions sans réponses. Sans doute le deuxième tome apportera quelques explications, en tout cas j’ai bien envie de voir ce que devient cette histoire imparfaite, mais addictive.
Ce roman prône le doit à la différence, à l’imperfection et porte de belles valeurs comme le courage, l’entraide et la résistance. Le lecteur entre très vite dans l’histoire, même si elle a un goût de déjà vu, avec le tyran fou à la président Snow, la journaliste à la croisée de Rita Skeeter et Cressida et bien sûr la jeune fille symbole qui lorgne du côté de Katniss Everdeen. À côté de ça, le background est, lui, original, même s’il manque de profondeur, et fait oublier au fil des pages les ressemblances citées. La plume de Cecelia Ahern est fluide et incisive, elle retranscrit parfaitement la violence de cette société qui s’est nappée d’un voile de respectabilité pour cacher sa cruauté. L’auteur effleure de nombreux sujets, mais ne va pas au bout de certaines idées dans ce premier tome, laissant nombre de pistes non exploitées et de questions sans réponses. Sans doute le deuxième tome apportera quelques explications, en tout cas j’ai bien envie de voir ce que devient cette histoire imparfaite, mais addictive.
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