Résumé :
Londres, époque victorienne. Le sanatorium de
Wakewater est une sinistre bâtisse située sur les bords de la Tamise qui
accueille les jeunes femmes dépressives. On retrouve régulièrement des cadavres
de noyées échoués à proximité…
Londres, de nos jours. Délaissé pendant des
années, Wakewater a été transformé en immeuble dernier cri. C’est ici que
s’installe Kirsten, à la suite d’une rupture. Elle espère y trouver la paix,
grâce au calme réparateur de la Tamise. Au fil des jours, la jeune femme devient
de plus en plus obsédée par les secrets que recèle l’ancien sanatorium. Et si
les noyées de Wakewater n’avaient pas dit leur dernier mot ?
Avis :
Londres et la Tamise, tantôt à l’époque
victorienne, tantôt de nos jours. Un sanatorium réhabilité en résidence de
standing, des jeunes femmes en quête de paix intérieure et l’eau en guise de
thérapie. Voilà le programme des Filles
déchues de Wakewater.
De nos jours, Kirsten emménage dans la
nouvelle résidence de Wakewater et va rapidement développer une irrésistible
attraction pour la Tamise et le passé du bâtiment. Au XIXe siècle ; Evelyn
est dépressive et en convalescence à Wakewater. Les histories des deux jeunes
femmes vont alternativement nous être contées pour finalement se rejoindre, un
procédé des plus classiques. L’ambiance se veut mystérieuse et inquiétante, un
brin gothique, mais le résultat n’est pas convaincant. L’auteur s’essaye à une
esquisse de critique sociale des mœurs et de la condition des femmes à l’époque
victorienne, mais, là aussi, cela manque de profondeur et de hauteur.
Heureusement, le livre est très court, parce que l’ensemble est finalement
ennuyeux et sans grand intérêt.
Dommage, il me tentait.
RépondreSupprimerLe résumé avait l'air intéressant, mais vu ton avis je vais en rester là.
RépondreSupprimerAprès ça peut vous plaire hein :)
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