Résumé :
Théo sait tout de
Summer : il a passé une partie de sa jeunesse à la protéger de son père
violent, à la tirer des pires situations. Peu à peu, il est tombé amoureux
d’elle, de l’éternelle optimiste et de la femme forte qu’elle est devenue.
Summer a quant à elle toujours refusé une histoire avec lui : ses relations
avec les hommes sont chaotiques et leur amitié est trop précieuse pour qu’elle
coure le risque de l’abîmer. Respectueux de ce choix, Théo est resté à distance
: il a veillé sur elle, en protecteur discret et bienveillant. Mais, grâce à
son frère Jérémiah, il prend conscience qu’à trop attendre, il pourrait bien
perdre la femme de sa vie... S’il veut un jour être heureux, il doit prendre
les choses en main et convaincre Summer qu’il est l’homme qu’il lui faut.
Avis :
Ce roman est la suite de Toi. Moi. Maintenant ou Jamais, que je n’ai pas lu, ce qui ne m’a
absolument pas gênée pour apprécier cet opus.
Summer et Théo sont amis depuis l’enfance
mais, au fil des années, des sentiments plus amoureux qu’amicaux sont venus
s’immiscer, des sentiments qui ont fait peur à Summer qui ne veut pas perdre
une amitié si précieuse. La jeune femme c’est éloignée et le lecteur découvre
une professionnelle accomplie, ambitieuse et forte. Seules ses relations
amoureuses laissent à désirer, bien qu’elle soit régulièrement courtisée. Mais
il y a toujours le spectre de Théo qui se rappelle à ses pensées… De son côté,
Théo n’a pas renoncé à son amour de jeunesse et est bien décidé à la
reconquérir.
Emily Blaine propose une romance sympathique
mais sans grand relief, construite selon un schéma assez convenu. On suit pourtant
les deux protagonistes avec plaisir, d’autant que Summer n’est pas une jeune
femme en perdition attendant d’être secourue par un homme, ce qui m’avait gênée
dans les précédents romans que j’ai lus de l’auteur. C’est mignon mais sans
surprise, on passe un bon moment de détente, mais il ne faudra pas en attendre
davantage, il manque ce petit quelque chose qui fait les romances qui vous font
soupirer et battre le cœur un peu plus vite. Tant pis.
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