Synopsis :
L'amour
est partout, imprévisible, inexplicable, insurmontable. Il frappe quand il veut
et souvent, ça fait pas mal de dégâts...
Pour
le nouveau Premier Ministre britannique, il va prendre la jolie forme d'une
jeune collaboratrice.
Pour
l'écrivain au cœur brisé parti se réfugier dans le sud de la France, il surgira
d'un lac.
Il
s'éloigne de cette femme qui, installée dans une vie de couple ronronnante,
suspecte soudain son mari de songer à une autre.
Il
se cache derrière les faux-semblants de ce meilleur ami qui aurait bien voulu
être autre chose que le témoin du mariage de celle qu'il aime.
Pour
ce veuf et son beau-fils, pour cette jeune femme qui adore son collègue,
l'amour est l'enjeu, le but, mais également la source d'innombrables
complications.
En
cette veille de Noël à Londres, ces vies et ces amours vont se croiser, se
frôler et se confronter...
Avis :
Love Actually a
15 ans cette année, et ça fait à peu près 15 ans que je le regarde aux
alentours de Noël. C’est ZE film pour cette période, le film qui vous faire
rire et pleurer, le film câlin par excellence, mon film doudou, à regarder sous
un plaid avec un bon thé.
Pour
ceux qui ne connaissent pas (il y en a encore, vraiment ?), c’est l’histoire
de plusieurs londoniens dont les destins amoureux s’entrecroisent l’approche de
Noël. Film chorale au casting 4 étoiles, Love
Actually fera battre votre petit cœur un peu plus vite et vous en sortirez
des étoiles plein les yeux. Depuis ce film, je pense qu’on n’a jamais fait mieux
dans le genre, Love Actually décrivant
à la perfection la délicatesse des sentiments sous couvert d’humour subtil, de
situations qui ne tombent jamais dans le rocambolesque, et c’est sa grande
force. Le film sonne juste aussi dans l’émotion, les acteurs jouent
merveilleusement bien (Emma Thompson, quand tu ouvres ton cadeau je pleure à
chaque fois) que dans l’humour (Hugh, j’ai un couloir à traverser en dansant,
tu passes quand ?). D’ailleurs, la première fois que je l’ai vu j’ai
tellement ri que je n’ai pas entendu toutes les répliques (j’ai un rire ni
discret, ni élégant), sachant que je ne ris quasiment jamais devant un film (j’aime
l’humour drôle en fait ^^).
Je
vous ai parlé des acteurs plus haut, le casting mérite qu’on s’y attarde un
peu. D’abord mes chouchous, Alan Rickman (j’ai toujours une larme quand je le
vois à l’écran) et Emma Thompson qui forment un couple à l’écran me crèvent le cœur
à tous les coups. Ensuite il y a Hugh Grant, mon crush d’adolescente dont j’ai
regardé toutes les comédies romantiques avec une adoration limite flippante
avec le recul, qui campe un premier ministre hors norme. Le discours face au
président américain me donne à chaque fois de demander la nationalité
britannique (avant de me rappeler que ce n’est qu’un film). On retrouve aussi
le Rick Grimes de The Walking Dead, l’Elizabeth
Swann de Pirates des Caraïbes, dans
des rôles pas fifous mais chous. Il y a aussi Colin Firth (Mark Darcy forever
<3 ) qui ressort la panoplie du mec un brin coinçouille mais trop sexy, Bill
Nighy en rock star sur le retour et incontrôlable ou encore Liam Neeson en super
beau papa veuf éploré (mais pas trop si jamais Claudia Schiffer croisait son
chemin). Franchement, il faudrait être difficile pour ne pas tomber sous leur
charme.
Vous
l’aurez compris, je vous un culte à ce film lui-même culte, je le regarde
chaque année religieusement, j’ai converti ma fille à ce rituel, je chante Christmas is all around et All I want for Christmas is you dès la
mi-novembre en pensant à ce film, bref, je suis un peu fan hardcore sur les
bords. Donc, si un jour on se croise, dites-moi que vous adorez Love Actually, je serais joie !
Cette chronique entre
dans le challenge Madeleine de Proust organisé par Lune.
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